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Abolition
Fuyez chères enfants enjouées
Tous ces vils contes de fée
Ne sont là que pour vous duper
Dans des dédales vous entraîner.
Les histoires de belles passions
Comme fut stupide cendrillon
Ce ne sont que des illusions
Des Foutaises par millions!
Les princes et leur garnisons
Uniquement des cours jupons
Et dans cette profusions
Il est dur de trouver le bon!
Ses sentiments dont on nous parlé
Ces valeurs en nous inculquées
L'amour à nos oreilles rabâché,
Se sentir une femme désirée,
Le droit que l'on nous miroité,
Celui d’être entièrement aimé.
Tant de conte sans véracités
Uniquement de fades clichés.
Triste mais réelle persuasion
Ou une masculine coalition
Pour qu'il n'y est confusion
Sur cette féminine exclusion?
Dans l'enfance tant raconté
Et j'y ai cru, j'en ai rêvé
De ce jour de blanc paré
C'est pour les fille il parait!
Mais en femelle je suis née
pourtant à toutes ces beautés
Je n'y ai pas vraiment goûté
Funeste est donc ma destiné?
Alors de toutes ces déceptions
J'en ai fait une grande toison
Symbole de mon entière rébellion
En un grand cris de résurrection.
Je ne veux plus de ces trahisons
Toute la vérité du petit chaperon,
Une chasseresse sans compassions,
Sera désormais ma réalisation
Fuyez chères enfant adorées
Laissé les hypocrisies déjantées
Ah ceux qui les ont inventé
Et de vos présents profiter!
Alzia
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