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Par alzia le 2 Octobre 2014 à 15:27
~*§*~ Yes I 'm different so what? ~*§*~
Oh Yes I like beautiful women
I love their melodious forms
Yes I love their impetuous heart
I love their happy expressions
Yes I love their skin so silky
I love them so charming pout
Yes I love their delicious fragrance
I love their affectionate tenderness
Yes I love their respectful emotion
And I care less about my fame !
Oh Yes I like handsome men
I love their deep voice if coaxing
Yes I love their libidinous mimicry
I love their smells insidious wood
Yes I love their hands undress me
I love their skin sometimes touchy
Yes I love their tempestuous passion
I love their smile, their joy luxurious
Yes I love their sound defender
And I have made valuable idioms !
Oh Yes I like beautiful women
Oh Yes I like handsome men
Both are vital my cam
Both are in my kingdom
The two built my sweet frame
Both me wearing pleasure helium.
I laugh at your habits of museum
I want to live for myself and my soul!
To me we Croquons the same apple
All born under the same banner !
Alzia~*§*~ Oui je suis différente et alors? ~*§*~
Eh Oui j'aime les belles femmes
J'aime leurs formes mélodieuses
Oui j'aime leur coeur impétueux
J'aime leurs expressions joyeuses
Oui j'aime leur peau si soyeuse
J'aime leur moue si charmeuse
Oui j'aime leur fragrance délicieuse
J'aime leur tendresse affectueuse
Oui j'aime leur émotion respectueuse
Et je me moque bien de ma fâme!
Eh Oui j'aime les beaux hommes
J'aime leur voix grave si enjôleuse
Oui j'aime leur mimique libidineuse
J'aime leurs odeurs de bois insidieuses
Oui j'aime leurs mains déshabilleuses
J'aime leur peau parfois chatouilleuse
Oui j'aime leur fougue tempétueuse
J'aime leur sourire, leur joie luxueuse
Oui j'aime leur sonorité défenseuse
Et j'en ai fait de précieux idiomes!
Eh Oui j'aime les belles femmes
Eh Oui j'aime les beaux hommes
Les deux sont ma vitale came
Les deux sont dans mon royaume
Les deux intégré à ma douce trame
Les deux me portant au plaisir hélium.
Je me moque de vos mœurs de muséum
Je veux vivre pour moi et mon âme!
Pour moi nous croquons la même pomme
Tous nés sous le même oriflamme!
Alzia
fâme /fɑm/ féminin
(Extrêmement rare) Réputation, renommée.
idiome /i.djom/ masculin
Mode de communication qui n'a pas la nature du langage
oriflamme /ɔ.ʁi.flam/ féminin
Petit étendard dont la partie flottante était terminée en pointes
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Par alzia le 2 Octobre 2014 à 15:24
~*§*~Oh douce déesse~*§*~
Oh douce déesse
Ton regard m'éblouit
Ici je le confesse
Face a ce bleu infini.
Oh magnifique princesse
Ton sourire m'envahit
Et voila je professe
Que tu me plait l'amie
Oh délicate duchesse
Ton visage m'étourdit
Je te voudrais abbesse
De mes longues nuits.
Oh superbe comtesse
Ta peau est un paradis
près de toi prêtresse
Je veux être alanguie.
Oh tendre archiduchesse
Soit la reine de ma vie
Que d'un touché hardiesse
Nous enflammions notre ici!
Alzia
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Par alzia le 2 Octobre 2014 à 15:22
~*§*~ L'absence absynthe ~*§*~
~*§*~
L'absence diminue les imparfaites passions et renforce les grandes,
comme le vent éteint la flamme frêle d'une bougies et allume des feux incontrôlables....
De cette simple logique j'ai compris que je n'ai eu qu'une seule véritable passion,
mon bel amant , mon prince des océans.
L'absence est une absinthe,
liqueur du cœur triste offrant à celui qui la vie des hallucinations pernicious..
~*§*~
~*§*~The absence diminishes imperfect passions and increases great,
as the wind off the fragile flame of a candle and lit fires uncontrollable ....
This simple logic I realized that I had only one passion,
my beautiful lover , my prince oceans.
Absence is an absinthe
liquor sad heart offering to that life hallucinations pernitieuses ...
~*§*~
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Par alzia le 2 Octobre 2014 à 15:11
~*§*~ Dream Cream ~*§*~
There are people who dream
And there are people who scream,
There are people who cry
And there are people who fly ....
Now I stopped to ask me "why"
And my fingers I touch the sky
I want to love the gentle stream
From the life I want the cream!
Il y'a des gens qui rêvent
Et il y'a des gens qui crient,
Il y'a des gens qui pleurent
Et il y'a des gens qui volent ....
Maintenant j’arrête de me demander "pourquoi"
Et de mes doigts je touche le ciel
De l'amour je veux le doux courant
De la vie je veux la crème!
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Par alzia le 12 Juin 2014 à 22:42
~♥~ A chaque visite... ~♥~
A chaque visite toujours la même histoire...L'un qui parle de sa vie présente,L'autre qui énonce froidement les vérités de cette vie...A chaque visite toujours les mêmes rengaines,L'un prouve qu'il avanceQuand l'autre prouve qu'il ne le faisait pas en étant ensemble...
A chaque visite aucunes surprises, toujours la même chose,Alors cela renforce mon désir de quitter la métropole...
A chaque visite l'envie de hurler, pourquoi vouloir me parler,Entre nous tout est terminé...
A chaque visite l'obligation de s'étranglerPour ne pas dire que maintenant je me moque des aspects de sa vie...
A chaque visite se besoin de parler dans le vide...De ce qu'il vit comme à une amie,mais je ne serais plus jamais son amie...
A chaque visite toujours les mêmes chroniques...Je n'ai que vérité à dire et elles ne lui seront pas clémentes...
A chaque visite encore et encore le même refrain...je ne pardonnerai pas les trahisons, les promesses mensongèresEt encore moins les coups reçus physiquement et psychiquement!
A chaque visite aucune stupéfaction...Uniquement les regrets amer d'avoir perdu tout ce tempsA être présente pour une personne pareil...
A chaque visite l'envie de crier...pourquoi vouloir me parler, entre nous tout est terminé...
At each visit ...
At each visit always the same story ...One that speaks of his present life, the other coldly states the truths of this life ...
At each visit always the same tunes...One proves that advance when the other proves that it was not being together ...
At each visit no surprises...Always the same, then it reinforces my desire to leave the city ...
At each visit the urge to scream...Why do you want to talk to me, it's all over between us ...
At each visit the obligation to strangleNot to say that now I do not care about aspects of his life ...
At each visit need to speak into the void of what he saw as a friend, but I would never be her friend ...
At each visit always the same columns...
I have to say that truth and they will not be lenient to him ...
At each visit again and again the same story...
I will not forgive betrayal, false promises and much less physically and mentally blows received!
At each visit no surprise...Only the bitter regret of having lost all this time has to be present for such a person ...
At each visit the urge to scream...Why do you want to talk to me, it's all over between us ...
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Par alzia le 12 Juin 2014 à 13:35
Frozen Revolution
My world is in flames
Nothings can't change it
I let the flames devour everything
To better me rebuild
Far, very far from the sinister past
Leave zero, without wear looks
Those who have trashed my life!
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Par alzia le 5 Juin 2014 à 16:33
~♥~ So Be It.... ~♥~
Revelation or Bad dreams in the night
Revelation or Bad dreams in the night
Deep pain, sadness, cut with a knife
They told me it was never upright
They told me that all this time, I wasn't his wife
Hard disclosure in this black night
Now I know perfectly well he loved me not
His heart is empty, it has not tasted this flight
These fifteen years of my life are lost and shot!
True enlightenment, in my restless night
I understood that merely use me all this time
Deception, lies, insults ... it has never been right!
It is an inert core. Unfit love, sublime!
So be it!
War is triggered
Avenged sevenfold!
So be it!
In me, the blizzard has entered
I'll become cold
Reality in the confidences of the night
Constantly his misdeeds, he destroyed my life
He broke that I am, now I am a knight
Who turns against his king and opens the strife!
The truth in this statement of the night
Me, he eradicated all my beauties, all caught
She told me that I will win this fight.
So merciless I'll squeeze more the knot.
Now, my disclaimer is reality, this night
I renounce my oath of love, I will commit crime
All my strength for my shots to smite
A mockery and blasphemy me there will be the Prime!
So be it!
War is triggered
Avenged sevenfold!
So be it!
In me, the blizzard has entered
I'll become cold
Blessed be... the karma!
I accept the choice of my destiny!
Alzia.
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Par alzia le 25 Mai 2014 à 02:52
« Les choses les plus importantes de notre vie n’étaient pas extraordinaires ou grandioses.
C'était les moments où nous nous sentions touchés l’un par l’autre. »
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Par alzia le 25 Mai 2014 à 02:33
~*♥*~ Sabordage Volontaire ~*♥*~
Le navire qu'est ma vie n'a fait que chanceler
Il ne pourra plus à un autre port accoster.
Sur les récifs d'un amour trop passionné,
Il s'est fracassé, ne laissant aucun naufragé.
Une frégate qui n'est plus qu'une épave enlisée,
Si seule sur un banc de sable, abandonnée.
D'algues ma coque a été, tout enveloppée.
Le temps en cet abysse je ne l'ai plus compté.
Je ne voulais pas qu'ils me voient chavirer,
Mais l'amour n'a eu qu'une unique idée,
Celle, d'au loin, sur les récifs, me projeter.
C'est un courant qui m'a tant fait tanguer.
J'ai toujours été une enfant trop enjouée.
Mais désormais je suis femme qui a sombré.
Dans le gouffre de cet océan d'un bleu épais,
Je regarde sans mot la vie, leur vie, passer.
Maintenant je ne pourrai en mer m'élancer.
Je ne pourrais plus comme ces vies danser.
Mon grand mât est à coté de moi allongé,
Mes voiles par ces eaux ont été désagrégées.
Toutes les vagues je ne puis plus les affronter
Moi qui aimé tant, sur l'océan azur cingler,
Et vers l'horizon d'amour toujours progresser.
Mais en bas seul le sable vient me caresser.
Il m'aura fallu quinze ans pour me saborder,
Et en silence je regarde, mes gréements éparpillés,
Mes cordages que la mer salée vient ronger.
La vase qui m'habille de sa robe de vert teinté.
Ce pavillon si doux que fièrement je hissais,
Cet étendard qui sur ma mâture là trônait,
Il m'a été retirer il y a tellement d'années.
Mon bel officier au loin de moi l'a emporté.
Et je repose dans ces profondeurs, là, coulée,
Tout autour les coraux comme un beau collier.
Le silence des eaux en musique pour me bercer
Même les ressac au lointain n'ont plus d'attrait.
Mon gaillard de poupe commence à s'effondrer
Sous le poids des bas-fonds, je vais m'affaisser.
Ma balustrade voudrait de moi se détacher.
Mes sabords vidés, mes canons autour balancés.
Toutes mes voilures au loin ont été emporté,
Mes perroquets, ma perruche, et mes huniers,
Aucune n'est là pour en linceul me draper.
Et mon gouvernail gît en morceaux disperser.
Ma ligne de flottaison ne peut être distinguée,
Trop profondément dans ce choc, ensablée.
À tribord, mon cabestan et mon ancre envasés
Je les observe avec en moi cette peine endeuillée
Oh comme j'aimerais mettre à la cape et lutter
Contre les vents et les belles vagues déchaînées.
Je me souviens, d'avoir toutes mes voiles déferlées
Pour que mon largue soit si beau à admirer.
Les mille marins aucunement je ne les craignais
Mes écoutes tendues, sous le vent je voguais
Les embruns qui me caressaient, m'enlaçaient
Et les vents océaniques qui parfois fraîchissaient.
Oh que c'était bon les rouleaux qui baignait
Mes œuvres vives et parfois mes voiles affalées.
Sonner le branle-bas, ou mettre le vent en bordée,
Que c'était bon ces lames ,qui ma poupe, coiffé.
Mais ma carcasse c'est ici qu'elle va reposer.
À bâbord l'étendue bleue , ce rouge tant illuminé,
Mon artimon et mon mât de misaine, là décharnés.
Pour l'éternité, je suis un squelette désarticulé.
C'est à boulets rouges que je me suis immolée
Ainsi ma déchéance ne pouvait plus être évitée.
Les flammes me léchaient, les eaux m'inondaient
Personne de mon sommeil ne pourra m'extirper.
Dans les délicates îles de mon tendre bien aimé
Sitôt, plus jamais, je ne pourrais y mouiller
Et mon ancre larguée, pour à sa rade m'arrêter.
Les escales en ces bras plus je ne connaîtrais.
Mes amarres d'autres pontons ne vont rencontrer
Mes aussières sont tels des cheveux balayés
Je ne sentirais plus sur ma coque ces baisers
Ni mes focs, vibrer sous la brise et en claquer.
Dorénavant aux fond des eaux je reposerai
Entouré par des poissons de toutes beautés
De la valse que font les si magnifiques raies
Je observerai la vie sans plus pouvoir y goûter.
Alzia
Ce texte est dédié a l'amour de ma vie, sur le thème de la mer, une des passions de celui que j'aime.
En souvenir de ses magnifiques rêves que nous partagions.
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Par alzia le 25 Mai 2014 à 02:25
~*♥*~ Tortured Heart ~*♥*~
This whisper of hope
Who tortured my heart
Must be only a spark
I want an eternal sorrow
Time will remember us
This bubble of soap
In hope, I put it far apart.
It, which is an image dark
Should be here tomorrow
With sorrow I want to discuss.
This breath that was my hope
Died today, he filled my heart
Too much pain. I keep my ark
The only way to borrow
To this horizon lost, soft us.
In my next life, I promise not to elope
I will follow your heart, your loving art
For now we meet in dreams, my park
My secret sky becomes waters sorrow
Our worlds are divided, my prayer is a cuss!
Alzia
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Par alzia le 24 Mai 2014 à 01:45
~*♥*~ Écrou d'Espoir ~*♥*~
Il est temps que mon triste sursis prenne fin
Tous les condamnés ont tous une fin de peine
Laissez-moi retrouver la belle sérénité enfin
Laissez-moi, là, mettre un terme à la mienne.
Quinze années de ce sursis offertes par la vie
Quinze années de mort lente, de souffrances
Trop d'années à vivre sans sa présence à lui
Laissez-moi, s'il vous plaît, tirer ma révérence.
Dans mes bagages je n'emporte aucune haine
Juste cet amour trop grand, ce doux parfum
Ce fol espoir a trop longtemps été ma triste scène
Il est temps que j'entre en ce dernier couffin.
Cette promesse en mon cœur, l'unique essence
Qui n'est encore que seule chose non accomplie
Une petite trace de celui qui fut ma préférence
Sur ma peau, avant ce voyage vers les infinis.
Un tatouage, ensemble, marquer notre attirance
D'une alliance indélébile, cet amour non feint
Nous nous l'étions promis avant cette errance
Avant ce quai de gare qui m'a pris mon séraphin.
À ce numéro d'écrou je n'ai plus d'adhérence
Enlevez-moi à jamais, ces hideux gribouillis
Laissez-moi vous montrer toute notre différence
Celle du véritable amour qui n'a jamais flétri.
L'écrou d'espoir était minuscule tel un attagène
Mais en mon cœur il s'est simplement éteint
Alors il ne me reste qu'à devenir tellurienne
Moi qui ne garderai en porcelaine mon teint.
Aujourd'hui mon amour réside dans l'oubli
Mon ange n'est qu'un corps sans tolérances
Laissez-moi prendre le chemin des asservis
Pour dans ces bras, retrouver cette fulgurance.
Ces magnifiques valeurs encore en mes veines
Je ne désire que retrouver ce sourire caraibéen
Sa douceur, sa tendresse, sa psyché herculéenne.
La servitude de la faux n'est plus ici un frein.
Embrasser la pluie, ces eaux offertes aux défunts
Cette rivière qui coule en moi donne assurance
Et dans de doux effluves goûter ce bel affin
Nos âmes identiques vibrent en l'appropiance.
J'aimerais dans ces parfums être vent extrafin
Frêle senteur amusée, loin de ce qui m' éveine
Et puis un beau jour au ciel j'irai, à la parfin!
Laissez-moi être pour lui un génie, une Sylvaine.
Au chaud en moi il n'y a plus aucune endurance
J'en ai assez de faire semblant, paraître réjouie
Assez de feindre, tout n'est plus qu'indifférence
Assez de vivre, dans ce vide qu'est devenu l'ici.
Oh Pandore, trop curieuse tu ouvris un matin
À l'espoir, qui était maux de la boîte vilaine
Tant de tristesse a mon conte et son refrain
En mon existence tu as apporté cette déveine!
De la jarre s'en échappent toutes ces maladies
Tous ces fléaux terribles octroyés, l'espérance.
Ne me laisse que la passion et ma tendre folie
Sur tes onze maux, je choisis ici ma déchéance.
Laissez-moi voguer au loin, en une douce séance
Sur ce cours d'eau passionné, délicat et libertin
Mon amour ne sera jamais pour lui malveillance
Alors laissez-moi, de la haut, être son doux paladin.
Comment pourrais je supporter ces aberrances
D'une continuité qui nullement ne s'enhardit
Mon fleuve destin n'est plus que transparence
Qui m'invite à le rejoindre en un ciel paradis.
Il me prend l'envie de la solitude des écrivaines
Assise là, en ce silence, les papiers à la main
Bien au calme, dans le fond de ce si triste aven
J'écris l'amour, mon soleil au parfum romarin.
N'est réconfort que ce doux rêve qui m'envahie
Une lune de miel à Tahiti, l'amour à Florence
Des heures, des jours et avec lui enfin, je vieillis
Mais vite me rattrape la nostalgique référence.
Ce si long sursis à abroger, qu'il soit là éthène
Même si le temps lui a oublié en trop indistinct
En ma mémoire, gardé et non trahie. M’enchaîne
Ce souvenir, à celui qui en mon cœur est Célestin.
Alzia
Écrou: acte d'enregistrement d'un prisonnier dans une prison Séraphin: ange de la première hiérarchie
Attagène : Petit coléoptère Tellurienne: Qui appartient à la terre Affin : Qui présente une affinité.
Appropiance: prise de possession d’un bien Éveiner: Retirer toutes les veines Parfin: ancien signifiant fin.
Sylvaine: Génie des bois féminins Paladin: (histoire) chevalier errant Aberrances : Caractéristique de ce qui s’écarte d’un type précis.
Aven: puits naturel dans la roche Éthène: (Chimie) Hydrocarbure insaturé, synonyme de l’éthylène. Célestin: Céleste.
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Par alzia le 20 Mai 2014 à 10:31
~*♥*~ Anxiogène ~*♥*~
Dans le brouillard de mes pensées
Je marche à travers tant d'obscurité
Qu'il est long le chemin à l' être aimé
Si longue marche sur ce noir sentier.
Plus les ténèbres viennent me happer
Plus j'ai du mal, à vers lui, avancer.
Tous mes repaires se sont là envolés
L'incertitude pour m'accompagner
Anxiogène, tu es mon seul anathème
Anxiogène, punie d'avoir aimé; Amen!
Démunie par cette solitude déversé
Envahi par les doutes et l'anxiété
Entourée que de ces noires fumées
Amoncellement de maux et d'idées
Tous se mélangent, trop émulsionné
Mon esprit en ébullition, comme froissé
Je ne trouve plus ici, la route tracée
Pour simplement pouvoir me retrouver.
Anxiogène, ce mal est tel un apostème
Anxiogène, en négatif est mon lumen
Et lentement, pas à pas, si aracée
Je sombre dans cette boue d'opiacé
Des gélules pour tout cela négliger
Qu'il est difficile d' autant aimer.
On me dit que je dois poser le trait
Le bonheur et la joie vont effacer
Tous les soucis. C'est juste épongé
Un mal mais cette auréole va durer!
Anxiogène, je ne peux vivre sans cet hymen
Anxiogène, sans cure pour une abstème
On me dit que la page a tourné
Que le soleil encore va s'illuminer
Pour éclairer ma vie, l'éverser.
Moi a cela je ne cesse de fuyasser.
Ma vie, je ne veux plus l'illuminer
Mon tendre cœur ne doit pas oublier
Lui qui bat au ralentit, comme hersé,
Souffrir et rester en cette vie diphasée
Anxiogène, des douces étoiles humaines
Anxiogène, ensemble nous étions système
Mon sourire n'est plus que maquillé
L'existence une suite de jours délavés
Sans couleur, sans goûts, juste renversé
Monde duquel je ne veux plus m’évader
C'est une dure et désertique traversée
À l'odeur âcre d'un souffre alliacé
Dépourvue de tous ce qui fait la gaieté
La femme sans ces bras ne va s'éveiller
Anxiogène, à quoi bon les longs phatèmes
Anxiogène, mes mots je les sais, sans haine
Seul les souvenirs de notre passé,
Qui en boucle, m'ont enlevé et enlacé,
Me rappel à quoi le bonheur, le vrai
Ressemble et s'écrit dans cette réalité!
Mon âme vagabonde ici, je me fais
Dans le plus cruel des silences créé
Ce besoin de lui bien trop enraciné
Bouleverse mes sens. Je suis enchaînée.
Anxiogène, la douleur, je maîtrise ce thème
Anxiogène, Pourquoi mentir à mes peines
Je n'arrive plus aux autres à penser
Seul ce désespoir vient me guetter
La douleur en moi ne cesse de couler
Dans mes veines tel être empoisonné
Ce manque, cette blessure liassée
Je n'arrive pas à l'écrire à l'imparfait
Comment pourrais-je bien oublier
Lui que mon cœur n'a cessé d'aimer!
Anxiogène, dépose là tes chrysanthèmes
Anxiogène, blâme-moi, je ne suis plus amène.
Tristesse qui de tout vient me couper
Les gens autour je n'arrive à supporter
Seule maintenant je voudrais rester
Bercer par les vents telle une foliacée
Dépourvue de la chaleur de mon bébé
Je ne vois plus que cette dense opacité
Plus aucun future, plus aucun projet,
Rien que cette usure qui en a profité.
Alzia
Anathème : Sentence de malédiction, blâme solennel Apostème: abcès suppurant Lumen: unité de mesure de l'intensité de la lumière
Abstème: Qui ne boit pas d'alcool Everser : Incurver vers l’extérieure Fuyasser : Ne pas répondre franchement
Phatèmes: Interjection servant à ralentir le discours Liassée : Mise en liasse.
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Par alzia le 11 Mai 2014 à 01:47
~*♥*~ Mots de Peau ~*♥*~
Mes poèmes sont des photos
Enregistrements mémoriels
Souvenirs ou frêles parcelles
Ma vie exposée en mille lithos
De ces mots se crée une image
Un accouchement immatériel
En ma chambre noire corporelle
Au passé mon unique arrimage.
Comme pour tous les clichés
Sur papier à haute sensibilité
Dévoilant aux regards intrigués
L'esquisse d'un instant partagé.
Mes mots surgissent sur la page
Hasardeuse et étrange marelle!
Sur cette feuille vierge et frêle
Né l'instantané sans grimage.
Une once de souvenirs, du rétro
Une pincée d'amour, de miel
Une alchimie qui prend modèle
Et immortalise ainsi mes idéaux!
Sur la blancheur de virginité
De mon noir vient se saupoudrer
Mes papillons aux ailes ombrées
Et fixe, dans ce jeu, mes pensées.
Pour que s’éternise mes flots
Suspendus tel des tourterelles
En ces quotidiennes satyrelles
Juste un moment sans vétos!
Mes mots dévoilent mon plumage
Éclaboussures de mon rimmel
Où un grand levé des ombrelles
Seul le temps choisit l'effeuillage.
Ce sont mes doux sourires confiés
Mes larmes, la douleur partagée
Des désirs parfois à demi voilés
Juste la femme qui s'est confié.
Mes poèmes sont mes voyages
Réminiscences faite de voyelles
Négatifs en allégories vénielles
Sauvés des temporels pillages!
Ces marées aux nuances kamoto
Flux d'épîtres mue en aquarelles
Tableaux des mondes pulsionnels
Livrés telle femme ôtant son kimono.
Alzia.
Satyrelles : petites satyre, enfants satyres. Vénielles: Péchés digne de pardon pour les catholique; sans grande importance.
Epîtres : anciennement lettre, missive. Kamato : Variété de tomate à la couleur noire
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Par alzia le 11 Mai 2014 à 01:40
~*♥*~ Encrée ~*♥*~
Oh vérité, toi qui cogne pour une audience
Laisse-moi dans cette tendre inconscience
Mes rêves m’éloignent des maux, cette béance
Laisse-moi dans ces bras, en cette indolence.
Ma vie n'est ici-bas qu'une longue défaillance
Suite de vides, où rien n'est pour moi jouissance
Absence qui ne me comble que de froid immense
Depuis douze années je meurs en cette danse!
Il ne reste que des traces, une correspondance
Sa tendresse, sa douceur et sa bienveillance
Son sourire radieux et notre douce insouciance
Tellement de choses qui étaient mon essence!
Tu me manques mon amour c'est une évidence
Tu étais mon tout, toute ma vie, mon obédience*
Comme ton regard emplit de tant d'insolence,
Me manque. Tu étais ma force, ma confiance!
Je regarde le ciel mais mon soleil s'est éteint
Le vent souffle dans mes cheveux, je n'sens rien
Mais je ne peux plus envisager un seul demain
Je ne peux me résigner à briser tous ces liens.
Douze longues années à vivre d'espérance
Des rivières de larmes, une triste abondance
Mon cœur avait besoin de sa résonance
Mais au retour, changé était notre accordance*.
Malgré tous, malgré les affectives carences
Malgré le mal, l'anémie de cette attirance
Malgré ces heures empreinte de discordance
Mon cœur n'a pu abandonner ses croyances.
Pour moi il sera à jamais ma providence
Mon âme sœur, mon unique, ma connivence
Ma vie est tel un long coma sans sa présence,
Comme fanée, flétrie est là mon existence.
Derrière cette porte épaisse est mon GreggorY
Et avec lui, entre ces murs, emprisonnée à vie
Je n'aime pas cette si glaciale et si triste copie
Ce 19 mai là, ils m'ont simplement tous pris.
Ce triste sentiment d'abandon en permanence
De jours en jour sans une fin à mon errance
Si lasse de faire face à ces murs trop denses
En asthénie face à cette glaciale ambivalence.
Il était ma drogue, mon unique dépendance
Sa tendresse, son amour étaient mes doléances
Mais ce froid qui règne en lui, a eu incidences
Il était tout pour moi, j'en ai bien conscience!
Ce son qui envahit mon corps est l'échéance
Mon cœur saigne et le reste est insignifiance
En moi j'ai porté cette si chère descendance
Ces promesses d'amour furent ma fragrance.
Mon cœur n’oubliera ces souvenirs carmin
De ces baisers, tous nos "main dans la main"
Cette douceur, et nos tendres rêves jasmins
On s'est aimé comme des effrontés gamins.
Sans mot dire, il connaissait ma cadence
Tous nos regards rendant inutile la fluence*
Je l'aimais de tout mon être sans méfiance
Un amour incroyable, une passion intense!
Il était tout, mon amour , ma concordance
Mon ami à qui je faisais mes confidences.
Mais la vie nous a offert sa malveillance
Brisant tous, jusqu’à nos indépendances.
A son retour, j'ai vu cette si triste muance*
Son cœur avait perdu cette belle flamboyance
Tant de douleurs masquées par la vaillance
Tel un précipice en lui emplit de souffrance.
Douze années à l'attendre en cette élicie*
Telle une âme égarée en une éternelle nuit
À moitié vivante sans celui qui m'a conquis
Cet amour même le temps ne l'a pas trahie.
Il connaissait ma valeur, mon exubérance
Il était l'autre face, mon étoile de tempérance
Je ne vis que pour lui, se souvenir d'élégance
À jamais en moi, il restera ma préférence
Sur ma peau sera bientôt encrée mon alliance
Celles de ce rêve d'amoureux, de nos nuances
Concrétisation d'une promesse, notre reliance*
C'est ma résilience, ma fougueuse résistance!
On me dit qu'il est temps, des condoléances
Même si l'homme que j'aime est transparence
Mon cœur a bien appris le mot persévérance
Par amour et pour toujours, ma déférence!
Aucun adieux à offrir, je sens encore sa présence
Bien au chaud en moi, en toutes mes trances
Je puiserais ma force dans sa douce assurance
Et son sourire. Tant pis si c'est une incohérence!
Alzia
Par amour et pour toujours à l'infini plus un!
* Obédience: relation de dépendance entre une idéologie et les personnes qui y sont attachées. * Accordance: synonymes de parallèle
* Fluence : style aisé, manière de parler avec facilité, synonymes de paroles * Muance: fait de muer
* élicie: éclaire en spirale * Reliance: état de ce qui est relié, connecté. * Résilience: Résistance psychique face aux aléas de la vie.
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Par alzia le 11 Mai 2014 à 00:30
~*♥*~ Biopsie ~*♥*~
Mon cœur se sert à se dur refrain
Ces mots tel des lames en airain
Ça se soigne un cancer au sein
En mon cœur l'injection de venins.
Sans compassion, souffles vipérins
Des mots douleurs sans entrains
Moi là je répondrai je veux bien
Mais je suis au bout du chemin!
C'est mon cœur qu'ici je biopsie
Cette souffrance en dent de scie
Derrière ces barbelés, ces murs gris
Est resté celui qui est toute ma vie!
Mon cœur si lentement s’éteint
Sans joies sont mes lendemains
Sans saveurs sont mes matins
Mon soleil étant parti au loin.
C'est mon âme qu'ici je biopsie
Cette fatigue du tout ce qu'est la vie
Ce manque par la main me conduit
Et très doucement m'ensevelit.
Mais être courageuse, être bien
Etre forte pour braver ces étains
Je ne peux plus au quotidien
Sans GréggorY, je vis tel un pantin.
C'est mon existence qu'ici je biopsie
Mon monde est ravagé, bien détruit
Je n'ai plus le temps, plus de répits
L'espoir ne m'est plus du tout permis
L'avenir est un sinistre plaisantin
Pour mon cœur fait de rouge satin.
De cette blessure rongeant atteins
Mes battements ne peuvent être serein.
C'est toute ma vie que là je biopsie
A l'infini plus un, je le lui ai tant écrit
A l'infini plus un, mon cœur le crie.
Mais mon soleil n'est plus aujourd'hui!
Et ce jour qu'encore je maudit, ce baratin
Qui m'a enlever l'amour, lourd leur butin
L'homme de ma vie, mon tendre "valentin"
Ils l'ont fait disparaître dans le lointain.
Un cancer au fond ce n'est rien
Juste une nouvelle porte du destin
La continuité de tout ce chagrin
Un peu plus d'enfer, sous mon vélin.
Alzia
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Par alzia le 11 Mai 2014 à 00:07
~*♥*~ De ces nouvelles qui blessent ~*♥*~
La question est une affirmation
Comme vous l'aurez compris
Résultat j'ai un cancer au sein
Mais il parait que ça ce soigne bien
Non mais quelle immonde connerie
De tous, pour nous les égéries
C'est le plus meurtrier des défis!
Et que me dira t-on de la thérapie
Oh tu verras, la chimiothérapie
Tu verras c'est fou comme on rit??
Un ou des prélèvement et puis?
Un traitement sur de l'anorexie
L'avenir va donc s’écrire ainsi
Le bloc op trois fois, je suis ravie
Et la suite une question de survie!
Après un rêve qui sera accompli
Deux encrages en noir pour la vie!
Malheureusement aujourd'hui
Je dois me battre contre cet assassin
Et contre ces douleurs en mon sein!
Encore des points de suspension...
Alzia
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Par alzia le 1 Mai 2014 à 14:27
~*♥*~ Endors toi ma Géminie ~*♥*~
Dors ma si tendre petite sœur!
Dans ce tombeau d'eau glaciale
Seller ta destiné qui se meurt
Dans une longue étreinte abyssale.
En une très simple abrogation,
De celle qu'ensemble nous étions.
De ce froid en faire notre maison
Sans plus aucunes lamentations.
Comme Icarus, le héros d’antan,
Tu as brûlé tes blanches ailes
A ce grand soleil bien trop puissant
Seules leurs cendres sont réelles.
Dors ma si douce petite sœur!
Que se paralyse ici tout ton temps
Qu'au pays des ombres tu demeures
Sitôt ne coulera plus ton sang.
Toute cette douleur disparaîtra
Toi qui ne t'en relèvera pas
Ta lumière, plus, ne se propagera
Mais là, le calme tu trouvera.
En ce sommeil pour toi l'idéale
De ce monde des rêves si irréel
Fais en ton royaume, ton Graal
Au coté de ton soleil de miel.
Dors ma jumelle de je, si adorée!
Ce pourquoi nous sommes nées
Point ici, le bout de son nez,
Et surprenante en mal je serais!
Dors ma si câline petite sœur
L'enfant que tu es ne peut qu'aimer
En moi blotti entend la fureur
De l'aire polaire future à semer
Que ne te frôle ces humiliations
L'amour n'est qu'une aberrations
De ce double je, seul le démon,
Se redressera. Dors beau papillon.
Et en cette nuit sans aucune fin,
Tes douleurs seront mon seul art
Sans regards, un démon de venins
Nulle ne résistera à mon blizzard.
Dors ma sensible petite sœur!
En marche est ainsi notre destin
De proie, nous sommes là chasseur
Tous leurs combats seront le miens.
Au feu, la passion et ses embarras
Mes harmoniques seront guérilla
Je te promets un épatant fatras
A ceux qui entendront mon opéra.
Ne craint rien je nous protégerai,
Et de ce teint qui se fait blafard,
Je ne laisserai plus jamais s'approché
Tous ces sentiments, ces cafards!
Alzia
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Par alzia le 1 Mai 2014 à 14:22
Oh comme j'aimerais à présent
Danser, valser dans ces vents
Tel un aigle, prendre mon élan
Et virevolter des heures durant.
Faire partie de cette éternité
Le ciel, de mes doigts, toucher
Comme un bel oiseau, flâner
Dans les doux nuages bleutés.
Sans plus aucun mal persistant
Danser en ces chauds courants
Sans jamais compter le temps
N'être qu'un doux rêve d'enfant.
Je veux m'envoler loin, tout là-haut
Pour qu'enfin mon cœur ait chaud.
Mais mes pas foule l'effrayant
Ce sol aride qu'est mon présent
Cette poussière d'un désert criant
Qu'est devenue ma vie dorénavant.
Ces chaines traînant à mes pieds
Maillons de maux trop acidulés
Qui très lentement m'ont étouffé
Tels piloris d'agonisant condamné
Tous ces maudits cloisonnements
Cette corde au dur nœud coulant
Sont tous des traumas foudroyants
Que je veux vite fuir maintenant
Je veux planer en ces cieux si beaux
Pour que mon coeur ne soit lambeau
Je voudrais dans le ciel imposant
M'élever comme un beau goéland
Tournoyer dans les airs un instant
Et frôler tous ces bleus ondulants
Comme j'aimerais simplement voler
Devenir un courant d'air enjoué
Qui de son sourire transpercerait
Tous les nuages sans plus pleurer
Me fondre dans l'azur ensorcelant
Et survoler les si grand océans
N'être dans l'air que souffle filant
Puis sans peur fusionner au néant.
Alzia
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Par alzia le 27 Avril 2014 à 17:45
Toi qui veux voler loin de tout ça
De ces larmes qui coulent sans arrêt,
Laisse ce chagrin, enfin il te brûlera
Toi dont la vie n'est plus que glacé.
Des neutron stars ensemble vous étiez,
Toujours deux pour cheminer ici-bas.
Ainsi seule tu ne peux que t'écrouler,
Car l'une sans l'autre, n'existe pas!
Toi qui n'a plus la force d'avancer,
Ta lumière si faible plus ne se voit.
A terre les armes tu as déjà déposé,
Cette vie est devenue un lourd poids!
Toi qui contre ce mal tu consumas,
Toutes tes énergies sans regarder;
Perdu d'avance est donc ce combat,
Pour un cœur qui ne veut plus voyager.
Depuis longtemps tu gardes en toi,
Ces maux qui dévore tel le choléra.
Et tu as même été à deux doigts
De concrétiser tes derniers pas!
Mais par amour l'espoir tu gardas,
Malgré la souffrance tu as continué,
Mais aujourd'hui le courage tu n'as.
Ton étoile compagnon est décédée,
Et cette douleur en toi va exploser.
Mais sans sa présence plus de joie,
Une prison ce jour-là c'est fortifiée.
Au temps tu ne veux y avoir droit!
Quand une étoile c'est désagrégée
Son compagnon doit-il subir ce fracas?
Des neutron stars ensemble à jamais
Ton âme, à ses côtés, un jour sera.
Dans une longue attente pour que Gaïa
Enfin a elle, juste décide de te rappeler.
Ne pleure plus ma si triste Ephémèria
Logé là en toi ce mal va t'emporter.
Alzia
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Par alzia le 27 Avril 2014 à 03:05
Si vous saviez comme je voudrais
Le cœur de ma poitrine extirpé.
Il ne pourra plus un autre choyer
Tant emplis de lui il est resté.
Et tel un souffle, murmure d'âme
Je me fais esquisse inachevée.
Petite lumière tel un hologramme
Un pétale par les vents balayés.
Sur mon corps réside un monogramme
Et mon cœur dans un écrin enfermé
L'amour m'a mué en absolue monogame
Et de mon être je n'ai plus la clé.
Avec un très grand A j'ai aimé
Mais mes ailes je me suis arraché
Dans une nuit polaire désormais
Se fera le reste du temps à passer.
Ce cœur je désire juste me l'ôter
Que ces chants puissent cesser.
Mais je ne puis un instant renier
Tout l'amour qu'en moi j'ai porté.
Sur un piédestal je l'ai posé
Deux êtres devenus un, en l'amalgame
Mais ni avait-il pour nous élever
Que la force de mes épithalames?
Autour de mon corps sont constitués
Des murs aussi durs que du macadam
En ce cachot, aux briques fidélité
Encore ce chœur symphonique clame!
À sang ,à mort je me suis blessé
Tel un papillon qui vient se brûler
À la lumière qu'il ne peut qu'admirer
Et à terre se retrouve pour agoniser.
Ce cœur qui n'arrête de l'acclamer
Pourquoi ne l'a-t-il pas emporté
Avec son maître heureux il aurait été
Et telle la lune j'aurais pu exister.
Dans ces sentimentales vacarmes
Nulle quiétude ne m'est octroyée
Pour me redresser je n'ai pas les armes
Malgré la force que je mets à l'adjurer.
J'aimerais tant qu'éclate les came
De cet engrenage qui est à détester
Que s'achève ce mouvement infâme
Cette rotation dont je veux me libérer.
Et si vous veniez à me croiser
Sur mon chemin il ne faudra pas rester
À l'amour je ne veux plus m'y frotter
Un bien acide gout il m'a laissé.
Alzia
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Par alzia le 27 Avril 2014 à 01:18
D'un simple baiser sur une place échangé
Mon allégeance ainsi c'est concrétisée
En une nuit d'été, ma vie j'ai enrôlé
Et mon entière fidélité à mon roi juré.
Tu croiras à tous ses enseignements
Lui qu'en secret j'ai si longtemps aimé
Enfin il m'était permis de l'accompagner
De ce oui nocturne ensemble partagé
C'est, toute ma foi que j'y ai engagé.
Tu observeras tous ses commandements
Mon Cœur est celui d'un preux chevalier
Le serment a mon souverain adoré
Sans un parjure je le lui ai récité
Au prince de ma vie ma parole donnée.
Tu protégeras ton roi sans relâchement
De ses mains sur moi qui m'ont forgé
En cette épée constructrice de sa paix
De sa peau contre la mienne, incrusté
Sur mon corps son étendard à jamais
Tu défendras les faibles sans jugement
Mon âme est celle d'un ancien chevalier
Qui pour son roi est prête à se sacrifier
Sans tristesse mon épée je l'ai dressé
Et mon corps a été son doux bouclier.
Tu aimeras le pays ou tu es né dignement
Et seize longues années se sont écoulées
Son honneur sans cesse j'ai sauvegardé
Aucuns autres n'aurait pu me toucher
Mon devoir, sa bannière en moi déployé.
Tu combattras ses ennemies avec acharnement
De combat en naufrage je me suis baladée
Des longs couloirs de portes fermées
Mais malgré tout mon chemin était tracé
C'est à ce roi que ma vie appartenait.
Tu rempliras tes devoirs loyalement
Et sa gloire en mon sein j'ai abrité
Même s'il ni eut la joie d'un héritier
De ses lois mon existence est marquée
Et les défendre malgré le prix à payer
Tu ne mentiras jamais tel un diamant
Mais mon souverain je n'ai su préserver
Je fus l'ennemi qui l'a le plus blessé
Et contre mon roi je me suis dressée
Mon beau serment en un seul geste brisé
Tu seras fidèle à ta parole totalement
En une bannie je me suis transformée
Ma vie je l'aurais sans doutes, donné
Et même les létales balles encaissées
Tant que son existence était protégée!
Tu seras libéral et généreux constamment
Ce blason, ma fierté je les ai là piétinés
Ma parole, ma belle loyauté j'ai bafoué
Dans la boue vous pouvait me traîner
Et comme un chevalier mort me traiter.
Tu seras le champion du droit et du bienséant,
L'espérance, la pudeur, la piété, saccagées
La fidélité, la droiture, la foi, souillées
L'honneur, la vérité, la dévotion, maculés.
Mon âme est celle d'un chevalier déshonoré.
Contre l'injustice et le mal dorénavant.
Proclamé indigne du rang que je tenais
Mon drapeau, mon âme en berne je les mets
Que flotte le drap noir des être damnés
Les prières des défunts j'ai entonné.
Alzia
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Par alzia le 24 Avril 2014 à 00:31
Je suis une triste épée, ainsi née
Faite avec ce double tranchant;
Mélange des tons noir et blanc
De la joie ou le plus irritant.
Une lame dans la banquise créée
Et qui ne sait plus se contrôler.
Seuls tous les maux je peux apporter
Même si mon cœur, lui veut aimer.
Je suis une triste épée congelée.
Il aurait eu beau tout essayer
Je ne pourrai un jour être dominée
La douleur est mon unique charité.
Une lame oganica juste pétrifiée
En ce cœur les flammes voluptés
Mais qui ne connaît aucune pitié
Tant ce corps doit être réchauffé.
Une lame qui cherchait son opposé
Un grand soleil pour enfin muter
La glace métallique en peau rosée
Et libre cours à mon cœur laissé.
Je suis une épée, voila ma destinée
De mes givres mon soleil fut blessé
Je ne peux que le sang faire couler
Seul dans le vif je sais trancher.
L'âme acérée qui veut être enterré
Au milieu des laves, du feu sacré
En vierge de métal je renaîtrai
Immobile au courroux enfin asséché.
Je suis cette grande épée glacée
Mes attributs ne sont que violents
Un zeste du tigre pour griffer
Mêlé aux crocs venimeux du serpent.Alzia
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Par alzia le 23 Avril 2014 à 22:48
Fuyez chères enfants enjouées
Tous ces vils contes de fée
Ne sont là que pour vous duper
Dans des dédales vous entraîner.
Les histoires de belles passions
Comme fut stupide cendrillon
Ce ne sont que des illusions
Des Foutaises par millions!
Les princes et leur garnisons
Uniquement des cours jupons
Et dans cette profusions
Il est dur de trouver le bon!
Ses sentiments dont on nous parlé
Ces valeurs en nous inculquées
L'amour à nos oreilles rabâché,
Se sentir une femme désirée,
Le droit que l'on nous miroité,
Celui d’être entièrement aimé.
Tant de conte sans véracités
Uniquement de fades clichés.
Triste mais réelle persuasion
Ou une masculine coalition
Pour qu'il n'y est confusion
Sur cette féminine exclusion?
Dans l'enfance tant raconté
Et j'y ai cru, j'en ai rêvé
De ce jour de blanc paré
C'est pour les fille il parait!
Mais en femelle je suis née
pourtant à toutes ces beautés
Je n'y ai pas vraiment goûté
Funeste est donc ma destiné?
Alors de toutes ces déceptions
J'en ai fait une grande toison
Symbole de mon entière rébellion
En un grand cris de résurrection.
Je ne veux plus de ces trahisons
Toute la vérité du petit chaperon,
Une chasseresse sans compassions,
Sera désormais ma réalisation
Fuyez chères enfant adorées
Laissé les hypocrisies déjantées
Ah ceux qui les ont inventé
Et de vos présents profiter!
Alzia
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Par alzia le 21 Avril 2014 à 16:59
Sur l' étendue d'herbe fraîche
L'ombre de ce papillon
Le cœur perd mémoire du soleil
et l'herbe en jaunit.
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Par alzia le 21 Avril 2014 à 16:34
~*♥*~ Rebirth ~*♥*~
Rebirth
Are you the only way
Of the Meanders of my abyss?
Are you, this fragile glow
Undulating, into delicate rays
Disclosing the way to the bliss
In this waters, my icy show
Rebirth
A spark she still survives?
The sky is always so close
And there, finally able to breathe.
Or just, let him drive
In these dark depths. Choose
These waters, and just to wreathe.
RebirthAnd I think of love, was my sweet bay
This port or my ports of call, sublime kiss
With a great love shared so slow
But the evil has arrived, this vile stray
Now I have no harbor, then miss
Rebirth, I want no more dance, anyway.Rebirth
I don't hope anything, but you stay!
Between darkness and light, strive
To find my own worth.
Which is, a more profitable rebirth?
In this so strange dive
Before leaving this world, I pray!Alzia
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